26 octobre 2011

crise du logement à Louvain-La-Neuve ; que propose la majorité Ecolo-cdH-Ps? le parlement Wallon s'invite au débat.

Crise du logement à Louvain-La-Neuve :

 

Le Service d’étude en géographie fondamentale et appliquée (Segefa) de l’Université de Liège vient de rendre son rapport sur le " problème" des logements dédiés aux étudiants. Sur six villes étudiantes, Arlon, Liège, Gembloux, Mons, Namur, Ottignies - LLN, il y aurait 31 000 kots pour 27 000 étudiants. 


Ce n'est que à Namur et surtout à Louvain-la-Neuve, qu'il y a une crise du logement. La situation de "ville riche" de Louvain-La-Neuve ayant une très faible offre de logements à loyers modérés (la plus faible de la région) n'a donc pas évolué depuis 15 ans. Au vu des résultats de l'étude du Segefa, l'on peut même penser qu'elle s'est empirée. 


"Les loyers trop élevés et la localisation d’offre dans des communes voisines", attestent de l'incapacité de l'UCL et des autorités communales (majorité Ecolo-cdH-Ps) à résoudre la crise du logement à Louvain-La-Neuve.


Bisbrouille au parlement : 


La majorité s'est empoignée sur le sujet et sur les engagements à prendre. Il ressort que (à vérifier) d'après le ministre Ecolo J-M Nollet, la commune d’Ottignies/Louvain-la-Neuve a reçu le permis de bâtir de nouveaux logements publics dans le cadre de "l’ancrage" communal, ces logements seraient réservés aux étudiants à bas revenus, "l’UCL, pour sa part, a des projets de création de près de 600 chambres" apprend-on dans La Libre du 26/10/11.  


A la veille des élections communales de 2012, ni Jean-Luc Roland, ni sa majorité Ecolo-cdH-Ps, ne semblent oser proposer un quelconque plan pour affronter la crise du logement qui frappe de plus en plus d'habitants d'Ottignies Louvain-la-Neuve, sans compter les innombrables qui ont purement et simplement du quitter leur commune pour se loger plus loin et moins cher.

1 commentaire:

  1. ottignies louvain citoyen ecolo
    Décharge de Louvain-La-Neuve Mont-Saint-GUIBERT
    L'érection en toute illégalité d'une digue pour constituer un dôme de déchets constitue la dernière fantaisie de l'exploitant écossais de la décharge. Faut-il prêter foi à la rumeur d'une convention secrète passée avec l'UCL en échange de sa bénédiction, et dont la nature alimente de nombreuses interrogations ? Malgré toute l'expertise et les moyens à sa disposition, l'absence d'étude par l'université sur les risques de santé publique posés par la décharge est surprenante et incite aux suppositions les plus cyniques. Lorsqu'on évoque ce milieu, malgré toutes les couches de vernis marketing vantant la "gestion des déchets et ressources" d'une grande entreprise responsable, la culture populaire renvoie plus souvent l'image de Tony Soprano. Que la Région Wallonne soutienne de tels agissements en les régularisant a posteriori est franchement préoccupant.

    Il faut rappeler que si la décharge a pu être agrandie et son exploitation prolongée, c'est grâce au vote Ecolo au Parlement Wallon en 2003. Victime d'un chantage politique ? Peut-être mais cela n'excuse pas de faire passer le maintien au pouvoir de son ministre avant l'éthique du parti et ses promesses. La faible implication du bourgmestre Jean-Luc Roland dans ce dossier a été une déception pour tous les habitants quelque soit leur couleur politique. C'était en effet le dossier crucial sur lequel un bourgmestre écolo aurait pu faire la différence, et il n'en a rien été. Qu'il ait semblé plus important à l'actuelle majorité d'élaborer un "plan communal de développement durable" sur l'air du carnaval de Rio plutôt que s'inquiéter des quinze millions de mètres cubes de déchets en bordure de la ville est un mystère qui me laisse sans voix.

    C'est pendant les 50 années suivant la fin de l'exploitation de la décharge que les risques les plus graves se manifesteront, et à ce moment-là plus personne ne les assumera. Les actionnaires de Shanks se seront remplis les poches, et c'est dans les notres qu'il faudra puiser les ressources pour assainir le site. Il faut donc prendre des mesures contraignantes dès maintenant, tant que la décharge présente un intérêt économique pour son exploitant.
    http://www.jemepresente.com/

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